«La hausse en qualité ne peut se faire sur le dos de la rémunération de nos agriculteurs», estime le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie, dans un entretien accordé à Réso Hebdo Éco(*). Conscient que «tout le monde se renvoie la balle», il plaide pour une contractualisation tripartite (agriculteurs, industriels, distributeurs) et des prix non négociables une fois l’accord conclu en premier lieu avec l’agriculteur.