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Les outils juridiques de «l’urbanisme transitoire»

Les trop nombreux terrains et friches délaissés, ainsi que les délais excessifs permettant de faire «sortir de terre» des projets d’aménagement amènent les communes à trouver des solutions innovantes pour redynamiser de façon temporaire ces espaces vacants, les transformer en lieux d’animations et d’échanges : c’est l’enjeu de l’urbanisme transitoire.

Le montage juridique d’une opération d’urbanisme transitoire repose sur un partenariat tissé entre un opérateur privé, porteur du projet, le propriétaire du terrain ou des locaux (publics ou privés), et le plus souvent une collectivité territoriale.
Le montage juridique d’une opération d’urbanisme transitoire repose sur un partenariat tissé entre un opérateur privé, porteur du projet, le propriétaire du terrain ou des locaux (publics ou privés), et le plus souvent une collectivité territoriale.

Une pratique née d’un constat «Ville durable», «smart city» … les expressions ne manquent pas pour souligner le besoin de renouveler la vision traditionnelle de la ville et de son urbanisme. L’accent est désormais mis sur la mixité fonctionnelle et sociale des espaces. Toutefois, le constat des communes est parfois amer : les études techniques, les études de faisabilité, celles environnementales,...

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